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L’OPU est une technique moderne en plein essor ces dernières années. Cette technique a été initialement conçue pour les juments sub-fertiles ne pouvant pas produire de poulain par transfert embryonnaire classique. Mais grâce à son efficience croissante elle permet également à des juments de sport de pouvoir concevoir des embryons hors saison sportive et de congeler ces embryons. Cela contribue à augmenter leur descendance, à réduire l’intervalle entre générations, et ainsi à entraîner un progrès génétique de plus en plus grand. Ce processus peut aussi être utilisé pour augmenter la fertilité de certains étalons et constitue un intérêt pour l’économie des semences.  Néanmoins, il s’agit d’une technique plutôt invasive et dont le risque de complications est relativement bien maîtrisé. Cette nouvelle technique connait de plus en plus de succès auprès des propriétaires. Les structures doivent faire face à un afflux de demande sans cesse croissant. Une fois collectés les ovocytes doivent être expédiés à un laboratoire réalisant l’ICSI (Injection Intra-Cytoplasmique de Spermatozoïde). Ces derniers se développent progressivement en Europe, mais aucun ne fonctionne commercialement en France à ce jour.  De nombreuses questions sont souvent posées par les propriétaires, notamment concernant le coût, le taux de réussite, les complications, le moment propice pour envoyer sa jument pour la ponction, et la proportion de mâles et de femelles produits par cette technique. L’objectif de ce webinaire est de faire un point sur la production d’embryons par ponction ovocytaire, à la fois sur les aspects théoriques mais également sur l’aspect pratique de la réalisation de ce processus. Il a avant tout pour but d’aider les confrères dans le conseil à leur clients éleveurs, à la fois dans le choix des juments candidates à la technique, mais également sur le suivi à réaliser avant de référer en centre d’OPU. Plus d'informations

La cicatrisation des plaies par seconde intention chez le cheval peut être associée à de nombreuses complications. Il existe sur le marché quantité de produits techniques permettant de gérer cette cicatrisation, la question étant de savoir quel produit utiliser, combien de temps, etc. Par défaut, la gestion des plaies n'est souvent pas considérée comme un suivi technique à part entière alors que la cicatrisation peut être optimisée pour un meilleur résultat esthétique et fonctionnel. En médecine humaine, le suivi des plaies par une équipe soignante par télémédecine est très développé en ce sens, et différentes techniques adjuvantes peuvent être employées pour accélérer la fermeture des plaies (VAC, greffes, fermeture retardée...). Ces techniques ont des limites dans leur utilisation chez le cheval mais peuvent, voire devraient être employées dans des cas bien sélectionnés.  La base reste cependant la connaissance de l'évolution attendue de la plaie et de ses potentielles complications, afin de permettre au praticien d'adapter au mieux leur traitement, et ce au travers d'un suivi rapproché.  L'objectif de ce webinaire est de présenter la prise en charge de ces plaies ne pouvant être suturées dans l'immédiat, et en particulier de préciser les différents types de compresses techniques pouvant être utilisées afin d'optimiser et d'accélérer la cicatrisation. Différentes techniques complémentaires de traitement seront également présentées dans le cadre de la gestion des plaies complexes. Plus d'informations

Pour y voir plus clair sur les uvéites, l’AVEF vous propose un webinaire le 20 octobre prochain, à 21h, animé par Thomas Launois, vétérinaire, DECVS, DESV et DE.O. Les uvéites, où en est-on en 2022 : ce qui change, les avancées, la leptospirose, que peut-on proposer ?" Cette conférence vous éclairera plus spécialement sur : la pathophysiologie des uvéites et ses dernières données ; la leptospirose, son importance dans la physiopathologie des uvéites et la vaccination, les modes de traitement médicaux des uvéites, et les traitements chirurgicaux possibles ainsi que leurs pronostics Plus d'informations

Comment améliorer ses radiographies de tête du cheval pour diagnostiquer une atteinte dentaire ou sinusale?  Que peut-on combiner comme examens en pratique sur le terrain et en clinique ? Une bonne technique pour obtenir des vues standards est primordiale pour en faire une bonne interprétation. Knut Nottrott, diplômé ECVS et EVDC section équine, nous montrera plusieurs exemples de cas pour illustrer ce domaine, si complexe parfois à appliquer sur le terrain. Plus d'informations

Un webinaire animé par un duo vétérinaire et maréchal sur l'intérêt de ferrer, de déferrer, quels sont les critères pour faire les bons choix ? Plus d'informations

Boiterie de boulet : attention aux apparences ! Aude-Gaelle Heitzmann, praticienne à la clinique de Grosbois, DESV CIRALE, fait une présentation de plusieurs cas cliniques ciblés sur le boulet et montre que parfois la lésion la plus évidente n’est pas toujours la bonne… Le proverbe « un train peut en cacher un autre » est donc le fil rouge de ce webinaire et des cas proposés. Que faire pour un cheval présenté pour boiterie persistante malgré l’exérèse du fragment d’OCD ? Compléter son examen radiographique avec une échographie, confronter l’examen dynamique aux lésions radiographiques et surtout ne pas toujours se fier à ce qui est visible à une 1ère lecture…  Avec 3 cas cliniques différents, Aude-Gaelle nous explique les éléments à rechercher sur une boiterie de boulet pour compléter son diagnostic et se recommandations. Plus d'informations